Dans ce film, le réalisateur rend hommage à son père Benoît Labaye, que l'on entend en voix off.
Handicapé depuis l'âge de 15 ans, il est décédé en 2006.
" C'est par le mouvement qu'on s'approprie sa propre vie. Par la liberté d'aller, de venir, d'avoir des gestes d'amour, de colère, peu importe. Quand on est privé de mouvement comme je le suis, si on veut survivre, il faut se ré-inventer le mouvement autrement."
Benoît Labaye
lien: http://www.youtube.com/watch?v=Qz2BaDkhwmA
vu au festival du film digital, musée d' art contemporain à Bucarest
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